En bref

Le sexe fait vendre, Tinder en est la preuve

Le sexe est vendeur. Tinder en est la preuve vivante. Cette application – le tout dernier moyen en vogue pour se faire piquer par Cupidon juste au coin de la rue – a affiché des revenus record dépassant même Netflix dans le classement des non-gaming applications qui rapportent le plus.

Au premier trimestre de 2018, l’application a enregistré une hausse de ses revenus de 42% par rapport à la même période en 2017. Au total, l’application a généré la modique somme de 261 millions de dollars.

La recette financière est tellement alléchante que même Facebook a décidé de surfer sur la vague en lançant une fonctionnalité dating. Comme quoi, « pluie d’argent n’est pas mortelle ».

Pour rappel, Tinder a été lancée en septembre 2012. Ses fondateurs se sont inspirés de Grindr, une application de rencontres pour les membres de la communauté gay.

Depuis, l’application n’a cessé d’évoluer en proposant des versions payantes, Tinder Plus et Tinder Gold, permettant, entre autres, à ses utilisateurs de géo-localiser « l’amour » dans les quatre coins du monde.

A ces abonnements premium s’ajoute un fil d’actualité qui rend l’application plus interactive et moins barbante qu’à ses débuts de « swipe left, swipe right, match ».

PS : la rédaction tient à signaler que l’application Tinder est loin d’être 5alti Manana l’entremetteuse du quartier et encore moins une agence matrimoniale.

Si vous souhaitez avoir plus de likes et que le sou ou Paypal vous font défaut, évitez les photos de groupe. Personne n’a le temps de jouer aux devinettes.

Plus de détails dans Startup News avec Dorra.

NJ

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